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南京法语入门培训
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【小语种前景】

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由于需要何种小语种取决于当地的经济发展,也取决于当地的文化氛围,特别是取决于当地引资的对象国。因此,各小语种的需求量伴随着各地合作对象的不同而有所区别。拿意大利语来说,这几年在市场上一直很吃香,学生一毕业就被一抢而空,同样,西班牙语也反响不错。而虽说阿拉伯语种市场情况相对稳定,但因其有20多个对象国,它的市场前景理应更好。日本由于经济上的强势,使学日语热一直“高烧不退”。

不过总的来说,全国对于小语种的需求并不匀称。东北地区对俄语的需求量很大。广东、广西等南方省区,由于地域因素边境贸易发达,对越南语、泰国语需求量很大。北京由于有新华社、外交部、国家安全部、国际广播电台、商务部等政府机构,需要的语种很全,基本上吸纳各个语种。如东欧语系就集中在北京外国语大学,上海则没有设立。沿海大城市对日语、法语、德语等热门小语种需求量仍然相当大,这类人才储备告急。而西北地区如宁夏、甘肃、陕西等,急需阿拉伯语人才,这些地区已开设出了教授阿拉伯语的民办学校,以满足民间文化事业发展的需要。

另外如西班牙语,作为联合国6种工作语言之一,是近20个拉丁美洲国家和地区的语言,随着中国与西班牙及拉美地区的贸易往来不断加强,使得西班牙语人才的就业空间十分宽广,而朝鲜语,据有关人士预测,也将会是未来几年的一大亮色。

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【发展前景】


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需求不均有潜力

虽然政府加大了对小语种的投资力度,但小语种人才在整个中国市场上仍属于"稀有动物",各地分布明显不均。

外语类毕业生由于专业等原因,绝大多数的人"就大不就小,就高不就低",流向大中城市、沿海发达城市的比其他类别的毕业生更突出,尤其是小语种专业,以北京外国语大学的毕业生为例,尽管北京市对外地生源的留京比例调控在15%左右,但2002届该校的600多名毕业生中,离京去外省市的仅50多人,在北京工作的却有400余人。

鼓励“双枪”重在复合

语言与经济发展密不可分,随着改革开放和中国“入世”等一系列推动经济发展的契机的到来,中国的市场日渐国际化,各国客商也纷至沓来,可以预见,小语种人才将逐渐紧俏起来,这朵羞答答的玫瑰,将不再静悄悄地开。

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法语兴趣课程

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【法语概况】 

现时全世界有8700万人把它作为母语,以及其他2.85亿人使用它。法文是很多地区或组织的**方语言(例如联合国、欧洲联盟)。法语分布于欧洲和非洲,欧洲的三个国家为:法 国,瑞士,加拿大的魁比克省。以及非洲的埃及、阿尔及利亚、摩洛哥等。

【课程名称】

开班日期:随到随学

总 课 时 :45课时

课程班型:VIP一对四

上课时间:全日制(周一到周五半天)周末班(周六日/半天)晚班(周一-周日晚),还可以依据学员不同情况,特殊安排!

适学对象:法语零基础的学员或搁置已久的学员,适合留学、移民、国外工作、考级类学员。


【课程内容】

从**基础的发音和单词,逐渐掌握800个词汇。掌握日常用语和简单句子、固定句型,能够进行自我介绍,回答有关个人基本信息。在去使用法语的地区旅行时,您将能够应对旅途中出现的绝大部分状况。您将可以对熟悉的话题进行简单、连贯的写作。您将可以描述经验、事件、理想愿望,并能 对自己的意见或计划作出简略的解释。

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法语基督山伯爵中法对照79
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Chapitre LXXIX

La limonade

En effet, Morrel était bien heureux.

M. Noirtier venait de lenvoyer chercher, et il avait si grande hâte de savoir pour quelle cause, quil navait pas pris de cabriolet, se fiant bien plus à ses deux jambes quaux jambes dun cheval de place ; il était donc partit tout courant de la rue Meslay et se rendait au faubourg Saint-Honoré.

Morrel marchait au pas gymnastique, et le pauvre Barrois le suivait de son mieux. Morrel avait trente et un ans ; Barrois en avait soixante ; Morrel était ivre damour, Barrois était altéré par la grande chaleur. Ces deux hommes, ainsi divisés dintérêts et dâge, ressemblaient aux deux lignes que forme un triangle : écartées par la base, elles se rejoignent au sommet.

Le sommet, cétait Noirtier, lequel avait envoyé chercher Morrel en lui recommandant de faire diligence, recommandation que Morrel suivait à la lettre, au grand désespoir de Barrois.

En arrivant, Morrel nétait pas même essoufflé : lamour donne des ailes ; mais Barrois, qui depuis longtemps nétait plus amoureux, Barrois était en nage.

Le vieux serviteur fit entrer Morrel par la porte particulière, ferma la porte du cabinet, et bientôt un froissement de robe sur le parquet annonça la visite de Valentine.

Valentine était belle à ravir sous ses vêtements de deuil.

Le rêve devenait si doux que Morrel se fût presque passé de converser avec Noirtier ; mais le fauteuil du vieillard roula bientôt sur le parquet, et il entra.

Noirtier accueillit par un regard bienveillant les remerciements que Morrel lui prodiguait pour cette merveilleuse intervention qui les avait sauvés, Valentine et lui, du désespoir. Puis le regard de Morrel alla provoquer, sur la nouvelle faveur qui lui était accordée, la jeune fille, qui, timide et assise loin de Morrel, attendait dêtre forcée à parler.

Noirtier la regarda à son tour.

« Il faut donc que je dise ce dont vous mavez chargée ? demanda-t-elle.

- Oui, fit Noirtier.

- Monsieur Morrel, dit alors Valentine au jeune homme qui la dévorait des yeux, mon bon papa Noirtier avait mille choses à vous dire, que depuis trois jours il ma dites. Aujourdhui, il vous envoie chercher pour que je vous les répète ; je vous les répéterai donc, puisquil ma choisie pour son interprète, sans changer un mot à ses intentions.

- Oh ! jécoute bien impatiemment, répondit le jeune homme ; parlez, mademoiselle, parlez. »

Valentine baissa les yeux : ce fut un présage qui parut doux à Morrel. Valentine nétait faible que dans le bonheur.

« Mon père veut quitter cette maison, dit-elle. Barrois soccupe de lui chercher un appartement convenable.

- Mais vous, mademoiselle, dit Morrel, vous qui êtes si chère et si nécessaire à M. Noirtier ?

- Moi, reprit la jeune fille, je ne quitterai point mon grand-père, cest chose convenue entre lui et moi. Mon appartement sera près du sien. Ou jaurai le consentement de M. de Villefort pour aller habiter avec bon papa Noirtier, ou on me le refusera : dans le premier cas, je pars dès à présent ; dans le second, jattends ma majorité, qui arrive dans dix-huit mois. Alors je serai libre, jaurai une fortune indépendante, et...

- Et ?... demanda Morrel.

- Et, avec lautorisation de bon papa, je tiendrai la promesse que je vous ai faite. »

Valentine prononça ces derniers mots si bas, que Morrel neût pu les entendre sans lintérêt quil avait à les dévorer.

« Nest-ce point votre pensée que jai exprimée là, bon papa ? ajouta Valentine en sadressant à Noirtier.

- Oui, fit le vieillard.

- Une fois chez mon grand-père, ajouta Valentine, M. Morrel pourra me venir voir en présence de ce bon et digne protecteur. Si ce lien que nos coeurs, peut-être ignorants ou capricieux, avaient commencé de former paraît convenable et offre des garanties de bonheur futur à notre expérience hélas ! dit-on, les coeurs enflammés par les obstacles se refroidissent dans la sécurité ! alors M. Morrel pourra me demander à moi-même, je lattendrai.

- Oh ! sécria Morrel, tenté de sagenouiller devant le vieillard comme devant Dieu, devant Valentine comme devant un ange ; oh ! quai-je donc fait de bien dans ma vie pour mériter tant de bonheur ?

- Jusque-là, continua la jeune fille de sa voix pure et sévère, nous respectons les convenances, la volonté même de nos parents, pourvu que cette volonté ne tende pas à nous séparer toujours ; en un mot, et je répète ce mot parce quil dit tout, nous attendrons.

- Et les sacrifices que ce mot impose, monsieur, dit Morrel, je vous jure de les accomplir, non pas avec résignation, mais avec bonheur.

- Ainsi, continua Valentine avec un regard bien doux au coeur de Maximilien, plus dimprudences, mon ami, ne compromettez pas celle qui, à partir daujourdhui, se regarde comme destinée à porter purement et dignement votre nom. »

Morrel appuya sa main sur son coeur.

Cependant Noirtier les regardait tous deux avec tendresse. Barrois, qui était resté au fond comme un homme à qui lon na rien à cacher, souriait en essuyant les grosses gouttes deau qui tombaient de son front chauve.

« Oh ! mon Dieu, comme il a chaud, ce bon Barrois, dit Valentine.

- Ah ! dit Barrois, cest que jai bien couru, allez, mademoiselle ; mais M. Morrel, je dois lui rendre cette justice-là, courait encore plus vite que moi. »

Noirtier indiqua de loeil un plateau sur lequel étaient servis une carafe de limonade et un verre. Ce qui manquait dans la carafe avait été bu une demi-heure auparavant par Noirtier.

« Tiens, bon Barrois, dit la jeune fille, prends, car je vois que tu couves des yeux cette carafe entamée.

- Le fait est, dit Barrois, que je meurs de soif, et que je boirai bien volontiers un verre de limonade à votre santé.

- Bois donc, dit Valentine, et reviens dans un instant. »

Barrois emporta le plateau, et à peine était-il dans le corridor, quà travers la porte quil avait oublié de fermer, on le voyait pencha la tête en arrière pour vider le verre que Valentine avait rempli.

Valentine et Morrel échangeaient leurs adieux en présence de Noirtier, quand on entendit la sonnette retentir dans lescalier de Villefort.

Cétait le signal dune visite.

Valentine regarda la pendule.

« Il est midi, dit-elle, cest aujourdhui samedi, bon papa, cest sans doute le docteur. »

Noirtier fit signe quen effet ce devait être lui.

« Il va venir ici, il faut que M. Morrel sen aille, nest-ce pas, bon papa ?

- Oui, répondit le vieillard.

- Barrois ! appela Valentine ; Barrois, venez ! »

On entendit la voix du vieux serviteur qui répondait :

« Jy vais, Mademoiselle.

- Barrois va vous reconduire jusquà la porte, dit Valentine à Morrel ; et maintenant, rappelez-vous une chose, monsieur lofficier, cest que mon bon papa vous recommande de ne risquer aucune démarche capable de compromettre notre bonheur.

- Jai promis dattendre, dit Morrel, et jattendrai. »

En ce moment, Barrois entra.

« Qui a sonné ? demanda Valentine.

- Monsieur le docteur dAvrigny, dit Barrois en chancelant sur ses jambes.

- Eh bien, quavez-vous donc, Barrois ? » demanda Valentine.

Le vieillard ne répondit pas ; il regardait son maître avec des yeux effarés, tandis que de sa main crispée il cherchait un appui pour demeurer debout.

« Mais il va tomber ! » sécria Morrel.

En effet, le tremblement dont Barrois était saisi augmentait par degrés ; les traits du visage, altérés par les mouvements convulsifs des muscles de la face, annonçaient une attaque nerveuse des plus intenses.

Noirtier, voyant Barrois ainsi troublé, multipliait ses regards dans lesquels se peignaient, intelligibles et palpitantes, toutes les émotions qui agitent le coeur de lhomme.

Barrois fit quelques pas vers son maître.

« Ah ! mon Dieu ! mon Dieu ! Seigneur, dit-il, mais quai-je donc ?... Je souffre... je ny vois plus. Mille pointes de feu me traversent le crâne. Oh ! ne me touchez pas, ne me touchez pas ! »

En effet, les yeux devenaient saillants et hagards, et la tête se renversait en arrière, tandis que le reste du corps se raidissait.

Valentine épouvantée poussa un cri ; Morrel la prit dans ses bras comme pour la défendre contre quelque danger inconnu.

« Monsieur dAvrigny ! monsieur dAvrigny ! cria Valentine dune voix étouffée, à nous ! au secours ! »

Barrois tourna sur lui-même, fit trois pas en arrière, trébucha et vint tomber aux pieds de Noirtier, sur le genou duquel il appuya sa main en criant :

« Mon maître ! mon bon maître ! »

En ce moment M. de Villefort, attiré par les cris, parut sur le seuil de la chambre.

Morrel lâcha Valentine à moitié évanouie, et se rejetant en arrière, senfonça dans langle de la chambre et disparut presque derrière un rideau.

Pâle comme sil eût vu un serpent se dresser devant lui, il attachait un regard glacé sur le malheureux agonisant.

Noirtier bouillait dimpatience et de terreur ; son âme volait au secours du pauvre vieillard, son ami plutôt que son domestique. On voyait le combat terrible de la vie et de la mort se traduire sur son front par le gonflement des veines et la contraction de quelques muscles restés vivants autour de ses yeux.

Barrois, la face agitée, les yeux injectés de sang, le cou renversé en arrière, gisait battant le parquet de ses mains, tandis quau contraire ses jambes raides semblaient devoir rompre plutôt que plier.

Une légère écume montait à ses lèvres, et il haletait douloureusement.

Villefort, stupéfait, demeura un instant les yeux fixés sur ce tableau, qui, dès son entrée dans la chambre, attira ses regards.

Il navait pas vu Morrel.

Après un instant de contemplation muette pendant lequel on put voir son visage pâlir et ses cheveux se dresser sur sa tête :

« Docteur ! docteur ! sécria-t-il en sélançant vers la porte, venez ! venez !

- Madame ! madame ! cria Valentine appelant sa belle-mère en se heurtant aux parois de lescalier, venez ! venez vite ! et apportez votre flacon de sels !

- Quy a-t-il ? demanda la voix métallique et contenue de Mme de Villefort.

- Oh ! venez ! venez !

- Mais où donc est le docteur ! criait Villefort ; où est-il ? »

Mme de Villefort descendit lentement ; on entendait craquer les planches sous ses pieds. Dune main elle tenait le mouchoir avec lequel elle sessuyait le visage, de lautre un flacon de sels anglais.

Son premier regard, en arrivant à la porte, fut pour Noirtier, dont le visage, sauf lémotion bien naturelle dans une semblable circonstance, annonçait une santé égale ; son second coup doeil rencontra le moribond.

Elle pâlit, et son oeil rebondit pour ainsi dire du serviteur sur le maître.

« Mais au nom du Ciel, madame, où est le docteur ? il est entré chez vous. Cest une apoplexie, vous le voyez bien, avec une saignée on le sauvera.

- A-t-il mangé depuis peu ? demanda Mme de Villefort éludant la question.

- Madame, dit Valentine, il na pas déjeuné, mais il a fort couru ce matin pour faire une commission dont lavait chargé bon papa. Au retour seulement il a pris un verre de limonade.

- Ah ! fit Mme de Villefort, pourquoi pas du vin ? Cest très mauvais, la limonade.

- La limonade était là sous sa main, dans la carafe de bon papa ; le pauvre Barrois avait soif, il a bu ce quil a trouvé. »

Mme de Villefort tressaillit. Noirtier lenveloppa de son regard profond.

« Il a le cou si court ! dit-elle.

- Madame, dit Villefort, je vous demande où est M. dAvrigny ; au nom du Ciel, répondez !

- Il est dans la chambre dEdouard qui est un peu souffrant », dit Mme de Villefort, qui ne pouvait éluder plus longtemps.

Villefort sélança dans lescalier pour laller chercher lui-même.

« Tenez, dit la jeune femme en donnant son flacon à Valentine, on va le saigner sans doute. Je remonte chez moi, car je ne puis supporter la vue du sang. »

Et elle suivit son mari.

Morrel sortit de langle sombre où il sétait retiré, et où personne ne lavait vu, tant la préoccupation était grande.

« Partez vite, Maximilien, lui dit Valentine, et attendez que je vous appelle. Allez. »

Morrel consulta Noirtier par un geste. Noirtier, qui avait conservé tout son sang-froid, lui fit signe que oui.

Il serra la main de Valentine contre son coeur et sortit par le corridor dérobé.

En même temps Villefort et le docteur rentraient par la porte opposée.

Barrois commençait à revenir à lui : la crise était passée, sa parole revenait gémissante, et il se soulevait sur un genou.

DAvrigny et Villefort portèrent Barrois sur une chaise longue.

« Quordonnez-vous, docteur ? demanda Villefort.

- Quon mapporte de leau et de léther. Vous en avez dans la maison ?

- Oui.

- Quon coure me chercher de lhuile de térébenthine et de lémétique.

- Allez ! dit Villefort.

- Et maintenant que tout le monde se retire.

- Moi aussi ? demanda timidement Valentine.

- Oui, mademoiselle, vous surtout », dit rudement le docteur.

Valentine regarda M. dAvrigny avec étonnement, embrassa M. Noirtier au front et sortit.

Derrière elle le docteur ferma la porte dun air sombre.

« Tenez, tenez, docteur, le voilà qui revient ; ce nétait quune attaque sans importance. »

M. dAvrigny sourit dun air sombre.

« Comment vous sentez-vous, Barrois ? demanda le docteur.

- Un peu mieux, monsieur.

- Pouvez-vous boire ce verre deau éthérée ?

- Je vais essayer, mais ne me touchez pas.

- Pourquoi ?

- Parce quil me semble que si vous me touchiez, ne fût-ce que du bout du doigt, l’accès me reprendrait.

- Buvez. »

Barrois prit le verre, lapprocha de ses lèvres violettes et le vida à moitié à peu près.

« Où souffrez-vous ? demanda le docteur.

- Partout ; jéprouve comme deffroyables crampes.

- Avez-vous des éblouissements ?

- Oui.

- Des tintements doreille ?

- Affreux.

- Quand cela vous a-t-il pris ?

- Tout à lheure.

- Rapidement ?

- Comme la foudre.

- Rien hier ? rien avant-hier ?

- Rien.

- Pas de somnolence ? pas de pesanteurs ?

- Non.

- Quavez-vous mangé aujourdhui ?

- Je nai rien mangé ; jai bu seulement un verre de la limonade de monsieur, voilà tout. »

Et Barrois fit de la tête un signe pour désigner Noirtier qui, immobile dans son fauteuil, contemplait cette terrible scène sans en perdre un mouvement, sans laisser échapper une parole.

« Où est cette limonade ? demanda vivement le docteur.

- Dans la carafe, en bas.

- Où cela, en bas,

- Dans la cuisine.

- Voulez-vous que jaille la chercher, docteur ? demanda Villefort.

- Non, restez ici, et tâchez de faire boire au malade le reste de ce verre deau.

- Mais cette limonade...

- Jy vais moi-même. »

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